• Nouvelle année et nostalgie

    Salut ! (oui, j’ai loupé la nouvelle pour Noël, désolée ><)

    J’ai remarqué que ces temps-ci, alors que je ne poste rien de nouveau, il y a de plus en plus de gens qui viennent ici… Bon bah je continue de glander alors ! (non non, je rigole, ne me frappez pas !)

    Alors voici… Bah… Un texte. En fait, c’est juste ce à quoi je pense en ce moment. Peut-être que vous trouverez ça intéressant, alors…

     


     

     

    Une nouvelle année commence. Je ferme mes yeux, bercée par un sentiment de nostalgie qui ne semble pas près de me quitter. Alors que qu’un nouvel avenir m’attend, je ne cesse de ressasser le passé. Je sens le vent caresser doucement mes paupières, assise dans l’herbe, en haut de la colline, surplombant la vallée où j’ai toujours vécu. Mon petit carnet à la main, je griffonne quelques souvenirs, en vrac. Un soleil illuminant le ciel, une promenade parmi les champs aux allures de grande exploration, la rencontre d’un chevreuil au bord d’un lac. Des jeux d’enfant dans les bottes de paille, une branche d’un arbre devenue une épée légendaire, des fruits cueillis dans un verger...

    Je refuse de me tourner vers le futur et m’accroche à des instants de bonheur que je ne voudrais oublier pour rien au monde. Cette nouvelle année sera moins amusante que la précédente, elle-même l’étant moins que celle d’avant. J’ai l’impression que plus je grandis, plus ce que je fais est triste, morne. J’aimerais retourner dans mon enfance, retrouver ces moments où j’étais heureuse. Je sais pourtant que c’est impossible. Mais j’en rêve encore un peu, tant que ces souvenirs n’ont pas encore disparu de ma mémoire. Et je commence cette nouvelle année en refusant de la vivre, même si ce n’est que pour quelques minutes. Plus tard, il me faudra accepter cette réalité. Mais pas maintenant.

     


     

     

    Voilà voilà ^-^

    Sur ce, à plus ~

    Nouvelle année et nostalgie


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  • Salut !

    Cet article est programmé pour être posté le 31 octobre à minuit pile, il s'agit donc... D'une histoire pour halloween ! (mais qui aurait pu deviner ??). Bref, la voici !

     


     

     

    Un jeune garçon était assis sur une chaise, dans une étroite cellule d’interrogatoire. Il avait le teint blafard, des cernes si marquées qu’elles paraissaient inhumaines, les yeux écarquillés et la lèvre tremblante. On aurait dit qu’il avait vécu la mort, qu’il revenait tout juste des enfers, n’ayant réussi qu’à conserver ce cadavre qui lui servait d’enveloppe corporelle. Toute pensée joyeuse semblait s’être évaporée de son être, cette étincelle que l’on pouvait percevoir dans les yeux des jeunes de son âge s’était définitivement éteinte.

    Il contemplait d’un regard vide le policier en face de lui. Celui-ci n’était pas vraiment à son aise, seul dans cette minuscule pièce avec un gamin si chétif qu’il voulait le protéger du monde, mais en même temps si effrayant qu’il osait à peine s’en approcher. Il toussota et, tentant de conserver son allure professionnelle, s’adressa au garçon avec une voix qui se voulait sévère mais qui trahissait une certaine pitié teintée d’une légère culpabilité à l’idée de le questionner dans cet état.

    « Donc… Monsieur Thomas Bernos, c’est bien ça ? »

    L’intéressé hocha lentement la tête. Le policier griffonna quelques mots sur son carnet de notes.

    « Je souhaiterais que vous me racontiez votre version des faits, en tant qu’unique témoin oculaire de cette affaire.

      - Bien, je vais vous raconter tout ce qu’il s’est passé. »

    Sa voix était faible, presque un murmure. Mais le silence qui régnait dans la pièce était tel qu’il était inutile de parler plus fort. Le dénommé Thomas cessant de parler durant un instant, rassemblant ses souvenirs de la manière la plus cohérente qu’il le pouvait. Il prit une grande inspiration, et entama son récit.

    « C’est d’abord Charlotte qui en a eu l’idée, pour fêter halloween. Et puis Luna a suivi, évidemment. Je n’avais pas vraiment envie de passer pour un froussard, alors j’y suis allé aussi.

      - Vous parlez bien de Mlles Charlotte Nysell et Luna Millot ? interrompit le policier.

      - Oui. Charlotte adore ce genre de choses. Elle avait trouvé une histoire étrange sur le collège, et elle voulait faire un de ses rituels bizarres pour invoquer les esprits ou je ne sais quoi. Elle nous avait invité, Luna et moi, parce qu’il lui fallait trois personnes.

    » Nous avions écarté les tables de la salle d’étude et elle s’était attelée au dessin d’une espèce de pentacle où je ne sais quoi, pendant que Luna et moi fermions les volets de fenêtres et allumions quelques bougies pour éclairer la pièce obscure. Puis nous nous étions assis autour de son croquis de craie, attendant la stupide légende qu’elle allait nous conter. Pour faire court, c’était l’histoire d’un élève tué dans cette même pièce qui cherchait à se venger en assassinant tous ceux qui croisaient son esprit errant encore dans le collège. Après quelques phrases d’invocations effrayantes, Charlotte avait soufflé doucement sur la dernière bougie qui était resté allumée. Nous étions plongés dans un noir complet, attendant un soi-disant fantôme, sans réelle crainte, bien qu’avec pour ma part une anxiété que je ne parvenais pas à expliquer.

    » Et puis d’un coup, un bruit sourd retentit. Luna hurla et agrippa mon bras, ce qui me fit à mon tour pousser un cri d’effroi. Charlotte, elle, ne réagit pas. Je rallumai une bougie pour éclairer la pièce, accusant celle-ci du regard. Je me disais qu’elle nous avait joué un tour et devait s’amuser de nous voir paniquer ainsi. Mais lorsque je posai mes yeux sur elle, elle me fixait, la lèvre tremblante, le visage pâle. Nous n’eûmes pas besoin de mots. Ni une, ni deux, je retournai allumer la lumière de la pièce. Rien n’avait changé. Rien qui n’aurait pu provoquer un tel bruit. Charlotte nous proposa de nous séparer. Elle partirait en direction de la salle des professeurs, où se trouvaient bon nombre de lourds casiers qui auraient pu tomber avec un tel fracas. Quant à Luna et moi, nous irions nous occuper des salles de classe renfermant de lourdes armoires.

    » Luna n’était pas très rassurée. Elle me parlait sans arrêt de laisser tomber, de rentrer chez nous. Je me moquais d’elle, la traitant de froussarde. Ah… »

    Thomas s’arrêta un instant, respirant de manière saccadée, avant de retrouver son calme. Le policier écrivait toujours, rapportant sur le carnet chaque parole et chaque geste du garçon. Celui-ci reprit, chuchotant presque, d’une voix lente :

    « Nous nous étions mis d’accord : pour aller plus vite, elle inspecterait les salles de gauche, et je regarderais celles de droite.

    » Quand j’eu terminé mon côté, je m’aperçus que je n’avais pas entendu Luna depuis un moment déjà. Je l’appelai, mais elle ne répondait plus. Je me précipitai dans les salles de cours où elle devait se trouver. Au bout de deux… Non, trois salles, je l’entendis crier mon nom. Je m’empressai de la rejoindre, et… Je… »

    Sa voix se brisa.

    « Il y avait Luna, à genoux dans une mare de sang !

    - Etait-ce son sang ?

    - Non, heureusement. Elle n’avait aucune blessure. Mais elle ne pipait plus un mot depuis qu’elle m’avait appelé. Elle se contentait de fixer le sol, comme si elle ne remarquait pas ma présence. En m’approchant d’elle, je voyais qu’elle regardait un squelette de corps humain, chose normale dans une salle d’SVT. Mais rien de cela n’expliquait tout ce sang. C’est à ce moment-là que je réalisai qu’il se passait vraiment quelque chose de louche. Je m’agenouillais à côté de Luna. Elle murmurait entre deux sanglots mon nom, Thomas. Mais elle serrait dans ses bras le squelette, marmonnant des mots incompréhensibles. Je m’approchais d’elle, serrant sa main, en lui disant que j’étais là, qu’elle n’avait pas besoin de pleurer.

    » Là, elle me repoussa avec vigueur. Elle hurlait que c’était impossible, qu’elle délirait, que j’étais mort, là, devant ses yeux, que je ne pouvais pas lui parler. Je ne comprenais plus rien. Après, elle se remise à m’ignorer, pleurant le squelette en murmurant mon nom.

    » Je décidai de retrouver Charlotte afin de lui exposer le problème. Elle s’y connaissait en maléfices et autres choses de cet ordre-là, et j’avais depuis un moment abandonné l’idée que tout ceci soit parfaitement rationnel. Sauf que… Quand j’arrivai à l’entrée de la salle des professeurs, Charlotte me lança que la chute des casiers avait bien provoqué le bruit de tout à l’heure. Et là, je posai mes yeux sur les fameux casiers… Et… Je… Ah… »

    Il se prit la tête entre les mains, tremblant de tout son être. Le policier lui tendit un verre d’eau, que le gamin but à grandes gorgées. Il garda quelques secondes les mains sur ses joues, se calmant peu à peu.

    « A partir de là, continua-t-il, tout ce que je vais vous raconter n’a aucun sens. Il y avait sous les lourds casiers le corps inerte de Charlotte. Je cherchai la provenance de la voix que je venais d’entendre, mais il n’y avait qu’elle, là-dessous, inanimée. Je tâtai son pouls sans grand espoir, avant qu’un tas de questions m’assaille. Comment pouvait-elle être coincée là alors qu’elle était encore avec nous lorsqu’il y avait eu le bruit ? La voix m’avait-elle mentit ? Mais alors, pourquoi n’avais-je pas entendu les casiers tomber ? D’ailleurs, cette voix était-elle une illusion ? »

    Thomas semblait s’être perdu dans ses questionnements. Son interrogateur se le coupa de ses pensées.

    « Qu’avez-vous fait, après cela ?

    - J’ai appelé la police… Et je me suis recroquevillé dans un coin de la pièce. »

    L’homme nota quelques mots avant de poser son carnet. Il observa un instant le garçon avec une pitié mêlée de dégout. Mais il reprit immédiatement un visage neutre. Il déclara d’un ton professionnel :

    « Ecoutez… Vous feriez mieux de me dire ce qui s’est réellement passé. Vous êtes le principal suspect de cette affaire. Pour être franc, il est en réalité certain que vous êtes coupable. De plus, il y a de nombreuses incohérences dans votre récit. Nous avons retrouvé Mlle Luna Millot morte dans une salle de classe, avec, agenouillée à ses côtés, un squelette qui paraissait pleurer sa mort. Vos empreintes étaient les seules présentes sur la victime ainsi que sur le squelette. Elles l’étaient également sur le corps de Mlle Charlotte Nysell ainsi que sur les casiers renversés. »

    Il fit une pause devant le regard sidéré de Thomas, puis reprit :

    « Cependant, d’après votre témoignage, il semblerait que vous ne soyez pas conscient de vos actions. Il est plus que probable que vous soyez interné au terme de votre procès.

    - Mais… protesta le garçon. C’est cet esprit… C’est ce qu’a invoqué Charlotte… Il a…

    - Je suis désolé, coupa le policier, mais cet entretien est terminé. Nous vous gardons en détention jusqu’à  votre jugement. »

    Sur ce, il sortit de la pièce, alors qu’il semblait à Thomas entendre le rire vengeur d’un fantôme résonner au loin.

     


     

     

    Voilà voilà !

    Est-ce que ça vous a plu ? Dîtes-moi ce que vous en pensez !

    (ouais, c'est pas un chat, mais... il fallait que je la mette x) ceux qui la reconnaîtront gagneront... mon respect le plus profond)


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  • Voisine

    Bonjouren ! (c'est ce que disent deux filles de ma classe pour dire bonjour)

    Non non, je ne suis pas morte, désolée de ne pas vous avoir donné de nouvelles >.< C'est juste que le temps que je m'habitue au rythme j'étais tout le temps surbookée...

    D'ailleurs, à ce propos : je vais abandonner cette idée de concours pour l'anniv' du blog, désolée :'( Pas trop le temps pour ça, en fait. Par contre, je risque surement d'organiser un concours pour halloween (je vous avez déjà dit que j'adooooorais halloween ? oui, je crois ^^").

    Brrrrref, voici un petit texte écrit pendant l'AP (cours qui ne sert strictement à rien, au passage).

     


     

    La classe était silencieuse, ce jour-là. Le soleil frappait de ses rayons étouffants contre les fenêtres. Le seul murmure qui persistait était le bruissement léger des stylos contre les cahiers. Le professeur était assis à son bureau, un peu plus sombre que d'ordinaire. J'avais posé ma tête sur la table, les yeux clos, à l'écoute du moindre signe du vacarme habituel de ma classe dissipée. Mais seul persistait ce calme pesant. Tous évitaient de lancer le moindre regard dans ma direction. Je savais pourquoi, bien sûr. Ma voisine les effrayait plus que tout.

    Elle était pourtant auparavant gentille, sympathique, amie avec la classe entière. Mais je les comprends. Moi aussi, j'en avais peur. J'avais surtout peur de ce qu'elle représentait. La perspective qu'elle était si proche de moi m'emplissait d'une angoisse digne d'une torture. Cette peur maladive que la faucheuse s'abatte sur moi obscurcissait mes pensées déjà lugubres.

    Mon regard se porta sur le bureau d'à côté. Seul un vase rempli de fleurs encore fraîches témoignait de la jadis existence de ma voisine.


     

    Voilà voilà !

    Sur ce, à plus ^-^

    Voisine


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  • Crépuscule

    Salut !

    Pas trop déprimés ? Profitez bien de ces deux jours (pour moi un seul, vu que je rentre demain, avant tout le monde TT.TT).

    Voici un petit texte (hm... que dire de plus ?). Bonne lecture ^^

     


     

    Deux enfants contemplaient le crépuscule se reflétant dans la mer illuminée, assis sur le sable de la plage. La douce lumière orangée du ciel diffusait une agréable chaleur, malgré le vent marin qui faisait virevolter la chevelure sombre de la fillette se mêlant ainsi aux courts cheveux d’or de son voisin. Celui-ci lui tenait fermement la main, un sourire empli de bonheur au visage.

    Les moments comme celui-ci étaient les seuls où ils pouvaient être ensemble. Cet orange était la couleur symbolisant leur fusion. Elle, la nuit sombre et mystérieuse, et lui, le jour joyeux et vif. Seul cet instant leur permettait de se croiser, avant que l’un n’aille se coucher. Ce crépuscule était pour eux le seul moment où la solitude cessait enfin de les tourmenter.

    Mais déjà l’orange s’assombrissait et le soleil disparaissait au profit de la lune. Le garçon sourit à son amie, murmurant doucement un au revoir, avant de disparaitre, lorsque cessa la lumière du soleil. Désormais seule sur cette immense plage, éclairée par l’éclat opalin de la lune, la fillette plongea sa main dans le sable froid. Elle soupira. Il lui fallait encore attendre jusqu’au lendemain matin…

     


     

     

    Voilà ^^

    Sur ce, bye~

    Crépuscule


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  • Une porte, une découverte

    Coucou !

    Me revoilà avec un petit texte tiré d'un jeu trouvé sur le net : "Vous vous promenez dans la campagne quand, soudain, vous apercevez une porte plantée seule au milieu d'un champ. Vous vous approchez et vous ouvrez la porte."

    Bref, c'est parti !

     


     

     

    Je me promenais comme toujours dans ces chemins de campagne, alternant entre champs et forêts, passant de petits ponts de terres qui traversaient de petits ruisseaux, la douce mélodie de la nature dans les oreilles. Oh, ce que j’appréciais ces petits instants de repos dans le rythme effréné de notre société ! Enfin, ce n’est pas pour vous dire cela que je prends la plume aujourd’hui. Je voudrais vous conter une étrange aventure qui m’arriva ce jour-ci.

    J’étais donc sur un petit chemin qui traversait la forêt d’à côté de chez moi, lorsque quelque chose d’étrange me mit la puce à l’oreille. Les oiseaux avaient cessé leurs chants, et un silence effrayant régnait désormais dans ce bois. Soudain, je la vis : une porte, plantée simplement au milieu du chemin, sans mur ni clôture pour la soutenir. Je passais par ce chemin tous les week-ends, pourtant je n’avais jamais vu une bizarrerie de la sorte – je l’aurais remarqué, tout de même ! –.

    Je songeai tout d’abord à passer mon chemin, mais, comprenez-moi, n’importe qui serait poussé de curiosité face à cet étrange évènement. J’examinai en premier lieu l’objet en lui-même. Une simple porte en bois, somme toute banale, comme on peut en trouver dans n’importe quel magasin de bricolage ou autre boutique spécialisée. Je pensai premièrement que quelqu’un l’aurait laissé ici, mais abandonnai vite cette idée farfelue. Qui aurait bien pu laisser une porte en la posant droite, en plein milieu d’un chemin de campagne ?

    Une espèce de pressentiment m’envahit. Je trouvais cette intuition ridicule, au début. Oui, seulement au début. Mais nous y reviendrons plus tard. Nous en étions donc là, mon pressentiment et moi, plantés devant cette porte, hésitants. Je me trouvais ridicule, à hésiter devant une porte. Alors, ignorant mon subconscient, j’ouvris la porte, et passai dans l’encadrement, fermant instinctivement les yeux.

    J’ignore si vous arriverez à me croire, ou si vous me prendrez simplement pour un fou. Mais bon, je me dois de vous conter cette extraordinaire histoire. Car en passant cette porte, j’étais entré dans une espèce d’univers parallèle ou je-ne-sais-quoi, ce genre de choses que l’on ne voit que dans les films.

    En rouvrant les yeux, je me trouvais dans une sorte de monde fantastique, peuplé d’îles flottantes reliées par de grandes passerelles. La porte était d’ailleurs positionnée sur l’une d’entre elle, celle qui menait à une immense cité fortifiée qui s’étalait sur les deux plus grandes îles des environs. Les petits îlots qui flottaient autour de la cité étaient peuplés de petites maisons individuelles isolées de la grande ville. Des créatures ressemblants pour certaines à des humains, pour d’autres à des personnages fantastiques que l’on trouve dans les livres, discutaient, riaient, se disputaient. Certains chevauchaient des monstres ailés afin de rejoindre des îles non reliées par des passerelles. Je n’y crus pas au premier abord.

    Cette expérience fut la plus étrange de ma vie, et restera sans aucun doute gravée dans ma mémoire. Ce que j’ai fait après être entré dans ce monde ? Eh bien, tel un courageux guerrier, j’ai repassé la porte avant que quelqu’un de cet autre monde ne me remarque. Revenu dans mon monde, la porte avait disparue, les oiseaux s’étaient remis à chanter, et toute trace de ce que je venais de voir s’était évaporée.

    Je n’ai bien entendu aucune preuve de ce que je raconte, et il est probable que j’ai été victime d’une hallucination ou d’une autre chose du genre. Cependant, je suis intimement convaincu que ma découverte était réelle. Mais bon, c’est à vous, chères personnes qui tomberont sur cette note, de vous faire votre propre opinion à ce sujet.

     


     

     

    Voilà ! (et je viens de me rendre compte que ma porte ne se trouve pas dans un champs --' je ne sais pas lire une consigne) Donnez-moi votre avis ^^

    Ah, au fait ! Je pars en vacances à partir de demain, donc je ne serais pas joignable.

    Sur ce, bye~

    Une porte, une découverte


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